Les 10 de Renault : Pierre ARPAILLANGE/GUILLOT
L'amnistie prévoyant la réintégration des dix salariés licenciés de l'usine de Renault-Billancourt, a été rejetée par le Conseil Constitutionnel. Réaction du garde des sceaux et de la CGT. - [Panoramique] sur salle de réunion du Conseil Constitutionnel. - [Gros plan] sur badge au revers d'une veste : inscription Amnistie Réintégration sur sigle Renault. - [Panoramique] sur militants de la CGT manifestants devant la résidence privée de François MITTERRAND. [Différents plans] affiches, slogans. - Réaction du garde des sceaux Pierre ARPAILLANGE dans le studio RMC -FR3 : "Les décisions du Conseil Constitutionnel ne sont susceptibles d'aucun recours. Elles s'imposent aux pouvoirs publics et à toutes les autorités administratives et juridictionnelles. S'il n'y a aucune possibilité sur le plan judiciaire, la seule chose à trouver est une négociation à la condition que les différentes parties l'admettent". - [Plan d'ensemble] sur responsables CGT de Renault lors d'une assemblée. - Déclaration du Secretaire général CGT -Renault, Jacques GUILLOT à propos du rejet de l'amnistie : "Il est clair que la question est posée de la défense des droits de l'homme à l'intérieur même des entreprises et d'abord dans les entreprises nationales. Le Président de la République est de ce fait interpellé directement en tant que garant des libertés". - [Plan d'ensemble] sur les responsables syndicaux entourant GUILLOT. [panoramique] sur l'assemblée présente.
Producteur / co-producteur |
France Régions 3 |
Générique | Journaliste : Michel Vial |
Descripteur(s) | amnistie, Arpaillange, Pierre, CGT, conflit social, Conseil constitutionnel, Guillot, Jacques, industrie automobile, licenciement, manifestation, réaction, Renault, syndicaliste, syndicat |