Le sang utilisé comme moyen de preuve en justice ; 4

- A 19'48 : 4ème causerie du professeur MOUREAU, professeur à l'université de Liège : le sang utilisé comme moyen de preuve en justice. Comment déterminer si le sang d'une tâche appartient à un individu soupçonné. Le problème de la détermination du groupe sanguin dans le sang séché. - A 20'27 : en quoi consiste l'agglutination des blobules rouges qui permet de déterminer le groupe sanguin. (Groupes, A, B, AB, et O). Aglutinogène, aglutinine. - A 22'31 : les techniques employées : mettre en contact la tâche séchée avec un sérum à force aglutinante. Sur un tissus on peut trouver d'autres substances proches (sueur, salive, sécrétions humaines qui contiennent aussi les antigènes A, B ou O) il convient donc de tester le tissu à un autre endroit où il n'y a aucune trace. Des microbres souillant des tissus peuvent aussi donner lieu à des interférences. Tous ces facteurs doivent être pris en compte par l'expert avant qu'il ne se prononce et ne donne ses conclusions. - A 24'09 : l'application judiciaire des groupes sanguins ou tâches de sang a été réalisé en 1916 pour la première fois par le professeur LATTES (?). D'autres systèmes de groupes sanguins ont été découverts en 1925 (M, N, P), les facteurs RH (rhésus)... - A 24'51 : pour montrer la complexité des groupes sanguins il donne sa propre composition de sang . - Toutes ces découvertes ont apporté des améliorations dans l'étude des tâches quand on a des traces assez importantes ou encore liquides mais on arrive juste à déterminer le groupe sanguin pour les petites tâches séchées ou souillées (eau, terre etc). - A 25'54 : il donne des exemples de cas concrets d'expertises criminalistiques. - A 31'48 : conclusion dans lequel il appelle les autorités à donner des moyens aux laboratoires de criminalistique pour qu'ils soient à la pointe de la technique et des centres de recherches scientifiques permettant l'élaboration de méthodes nouvelles qui serviront au mieux la justice.