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Francis Lalanne : incitation au désespoir

Francis Lalanne : incitation au désespoir

Le tribunal des flagrants délires - 26.01.1981 - 16:11 - audio

Claude VILLERS déclare le chef d'accusation de Francis LALANNE : "Incitation au désespoir". Francis LALANNE se défend, il se dit innocent, pense que la vie n'est pas toujours belle et qu'il est important de le dire. Il se dit "une sorte de haut-parleur du désespoir", parle de ce qui le révolte notamment les nouvelles mesures de Raymond Barre et à cette occasion il chante a capella un couplet de sa composition de "Dansons la carmagnole". Il s'indigne que l'on dépense tant d'argent pour des monuments aux morts au lieu de s'occuper des vivants dans le besoin. Il évoque ceux qui ne l'aiment pas et le trouvent mauvais, parle de sa notion du bonheur uniquement en petit comité "L'idéal de bonheur, c'est pouvoir tout le temps fermer sa porte à clef" et se fait traiter de parano par le procureur Desproges, il se défend d'être parano et chante un petit couplet de sa composition sur l'air de la chanson de Jacques Brel "Marieke".

Producteur / co-producteur Radio France
Générique Réalisateur : Monique Desbarbat Producteurs : Claude Villers, Monique Desbarbat Auteurs de l'oeuvre pré-existante : Charles Trenet, Francis Lalanne Interprètes : Pierre Desproges, Claude Villers, Luis Rego, Francis Lalanne, Dominique Bailly Participants : Francis Lalanne, Dominique Bailly, Jean Louis Foulquier
Descripteur(s) chanson, détresse, Humour

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