Michel Simon

Marchant dans son jardin, Michel SIMON lit un passage de "Le singe nu" de Desmond MORRIS. Puis assis dans la volière de sa maison, il ironise sur les sociétaires de la Comédie Française, en les comparant à des singes en captivité. Il parle de sa guenon Zaza, qui était très jalouse. Il accuse les femmes de ne pas allaiter leurs enfants, contrairement aux singes... Il lit encore un passage du livre cité plus haut, puis compare la prolifération des humains à celle des punaises. Il cite des bons mots de Jean ROSTAND et Tristan BERNARD (rire d'un perroquet). De nouveau dans son jardin, il parle de la sottise des savants à propos des singes. Il évoque sa gueunon Zaza qui s'est suicidée lorsqu'il a dû s'absenter. Puis il parle d'autres singes avec lesquels il a vécu, et qui ont été ses meilleurs amis. Il voudrait pouvoir faire une réserve d'êtres humains savants, et les donner aux singes à qui il aurait inculqué l'art de la vivisection. "Mais les singes sont trop bons, il n'y a pas un singe qui pourrait charcuter un être humain".