Hyperview : Christine Deviers Joncour

Longue confession en forme de dénonciation de Christine DEVIERS JONCOUR à propos de son livre autobiographique "La putain de la République" - elle souligne que c'est un surnom que certaines personnes lui ont donné. Elle évoque son premier mari Jean-Jacques DE PERETTI, c'est avec lui que commence pour elle "l'engrenage dans la politique". Son deuxième mari, Claude JONCOUR, militant socialiste (opinion politique qu'elle partageait) la présente à un affairiste, Alfred SIRVEN, qui lui fait connaître Roland DUMAS lequel l'aide d'abord à se venger de DE PERETTI . Au contact de DUMAS "c'est le pactole": engagée chez Elf pour 51 000 F par mois elle "s'accroche au pognon" et en "perd les pédales". C'est avec DUMAS qu'elle "vend son âme au diable": elle convainc DUMAS de signer au bénéfice d'Elf Aquitaine - qui est en réalité une caisse noire du pouvoir politique.