L'affaire DOMINICI : vérité factuelle
Gustave Dominici affirme que l'arme du crime (une carabine américaine de marque "Rock-Ola" et de modèle "US-M1", datant très certainement du débarquement en Provence d'août 1944 ou des années de Maquis et de Résistance) n'appartenait pas à quelqu'un de la Grand'Terre : Faux. Devant témoins, son frère Clovis s'est agenouillé en pleurs, pris de tremblements nerveux, quand on lui a présenté pour la toute 1ère fois cette arme repêchée dans la Durance. Il avait en effet immédiatement reconnu l'arme de son père, arme très facilement reconnaissable car rafistolée avec du vulgaire fil de fer (à noter que c'est cette arme rafistolée de toute part - arme dont il a été prouvé de façon incontestable, expertises balistiques à l'appui, qu'elle a servi au triple crime - qu'auraient utilisé des tueurs à gage professionnels, selon les partisans de la thèse de l'innocence de Gaston Dominici et du complot des Services secrets). De plus, Gustave, Clovis et surtout Gaston ont fini par reconnaître - après l'avoir catégoriquement nié pendant des mois - que l'arme leur appartenait bien (dans les différents ouvrages consacrés à l'Affaire, il existe notamment des photos très nettes où l'on voit les 2 frères et le père désigner exactement le même endroit quand les enquêteurs leur demandent de montrer où était rangée l'arme du crime dans une grange attenante à la ferme).
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Générique | Journaliste : François Cornet Participant : Gustave Dominici |
Descripteur(s) | enquête de police |