REACTIONS POLITIQUES PARIS

ENQUETE SUR L'ASSASSINAT DU PREFET ERIGNAC ET AFFAIRE DES PAILLOTTES EN CORSE / A l'Assemblée nationale mardi 25 mai 1999, les élus de l'opposition RPR-UDF-Démocratie libérale devaient défendre leur motion de censure sur les dysfonctionnements de la politique du gouvernement JOSPIN en CORSE, tout en se félicitant des dernières évolutions de l'enquête dans l'assassinat du préfet Claude ERIGNAC. Ambiance dans les couloirs de l'Assemblée nationale : - Journaliste penché sur Libération, ouvert sur un fauteuil. - DP PM députés en discussion, dans le hall de l'Assemblée nationale. - ITW Georges SARRE, député RCV et Président délégué du MOUVEMENT DES CITOYENS : "C'est un progrès considérable". - José ROSSI, président du groupe DEMOCRATIE LIBERALE (DL) à l'Assemblée nationale et Président de l'Assemblée territoriale de Corse, interrogé par des journalistes / ITW ROSSI, satisfait que justice soit faite en Corse (cf. arrestation et mise en examen de nationalistes, soupçonnés du meurtre du préfet Erignac). - DP députés - ITW Alain MADELIN, président de DEMOCRATIE LIBERALE, interrogé aux "Quatres vérités" (France 2) du mardi 25 mai 1999, demande la démission de Jean-Pierre CHEVENEMENT, ministre de l'Intérieur. - ITW Patrick DEVEDJIAN, député RPR, qui se félicite des résultats de l'enquête. - Plateau situation : Jean-Baptiste PREDALI, qui revient sur les changements de climat dûs au bons résultats de l'enquête sur l'assassinat du préfet Erignac.