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défilé du 14 juillet, plus de sécurité depuis 2002

défilé du 14 juillet, plus de sécurité depuis 2002

Retour vers l'info - 14.07.2022 - 02:25 - vidéo

14 juillet 2002, il y a 20 ans. Le défilé militaire est en cours, et le pire vient d'être évité. Depuis la foule, Maxime Brunerie, jeune militant d'extrême-droite, tire sur le président Jacques Chirac. La télé capte les coups de feu. Le chef de l'Etat n'est pas touché, le défilé continue. Très vite, Maxime Brunerie est arrêté par plusieurs spectateurs. Cet attentat raté pose une question. Le président était-il suffisamment protégé ? A l'époque, il n'existe pas encore de fouilles des spectateurs.Christian Prouteau est le fondateur du GSPR, la garde rapprochée du chef de l'Etat. Et selon lui, il y a eu des manquements. Un an plus tard, le 14 juillet 2003, nouveau défilé. Cette fois, la leçon a été comprise et la sécurité renforcée. Le public est plus éloigné du défilé, 4700 policiers sont déployés soit 1000 de plus qu'en 2002, et ce n'est pas tout... Les spectateurs sont fouillés pour le défilé. C'est une première ! Aujourd'hui, le défilé militaire est toujours sous très haute surveillance. Les voitures sont interdites dans la zone des Champs-Elysées, et plusieurs stations de métro sont fermées. En 2017, pour la première fois, un drone militaire a même été mobilisé pour assurer la sécurité du défilé.

Producteur / co-producteur Institut national de l'audiovisuel
Générique Rédacteurs en chef : Jérémie Gapin, Géraldine Cornet Lavau
Economie et société
Politique

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