ROUTIERS REACTIONS
Au lendemain de l'échec des négociations entre les syndicats de chauffeurs routiers dans le transport de marchandise et le patronat (portant sur les rémunérations et le temps de travail), la fermeté prédomine chez les chauffeurs, ceux-ci faisant toujours planer la menace d'une grève illimitée à partir du 2 novembre. - Biriatou (Pyrénées-Atlantiques), frontière France-Espagne : PM distributeur de tracts expliquant à un chauffeur la situation : "La grève démarre dimanche soir. Ils nous ont pris pour des cons. Ils n'ont pas compris" / DP distribution de tracts. - ITW CHRISTIAN LAFLAQUIERE, secrétaire régional des transports CFDT : "Un routier travaille 61 heures par semaine pour un taux horaire de 36,40 francs. On demande 48,65 francs. Si la partie patronale (ne cède pas) elle portera la responsabilité du blocage du pays". - PE file de camions au poste frontière. - Suite ITW Mr LAFLAQUIERE : "On ne gênera pas la circulation des voitures individuelles. Seulement le transport de marchandises". - PM chauffeurs et syndicalistes discutant / PE camion quittant la frontière.
Producteur / co-producteur |
France 3 Bayonne |
Générique | Journaliste : Ttotte Darguy |
Descripteur(s) | Biriatou, camion, CFDT, condition de travail, conflit social, France, frontière, grève, Interview, Laflaquiere, Christian, négociation, patronat, préavis, Pyrénées Atlantiques, réaction, routier, salaire, syndicat, temps de travail, tract, transport routier |