La rentrée parlementaire à l'Assemblée nationale

A l'exception de Démocratie libérale, les différents groupes de l'Assemblée nationale ont soigneusement évité aujourd'hui, jour de rentrée parlementaire, d'aborder le thème des affaires. L'Unedic, les accords de Matignon sur la Corse, la situation au Proche-Orient ou en Yougoslavie ont été les sujets les plus fréquemment évoqués lors de la première séance des questions au gouvernement de cet automne. Le Premier ministre, Lionel JOSPIN, qui a répondu à une question sur la Corse, a d'ailleurs exprimé sa "satisfaction" de "reprendre le dialogue démocratique" avec le Parlement. Extrait d'une déclaration de Lionel JOSPIN. Interviews de Claude GOASGUEN, DL, et de André SANTINI, UDF. Commentaire sur images factuelles. [Source : documentation France 3] A l'exception de Démocratie libérale, les différents groupes de l'Assemblée nationale ont soigneusement évité aujourd'hui, jour de rentrée parlementaire, d'aborder le thème des affaires. L'Unedic, les accords de MATIGNON sur la Corse, la situation au Proche-Orient ou en Yougoslavie ont été les sujets les plus fréquemment évoqués lors de la première séance des questions au gouvernement de cet automne. Le Premier ministre, Lionel JOSPIN, qui a répondu à une question sur la Corse, a d'ailleurs exprimé sa "satisfaction" de "reprendre le dialogue démocratique" avec le Parlement. SONORE Lionel JOSPIN "nous sommes heureux de revenir devant vous, pas eulement pour retrouver la majorité, son soutien, ses questions, mais aussi l'opposition pour trouver ses interpellations" Sur la Corse "si les avocats en font la demande, des rapprochements, parce qu'il y a des problèmes de transports, de coût, en tout cas dans le midi de la France, peut être envisagés individuellement" SONORE Claude GOASGUEN "'j'ai trouvé que l'atmosphère n'était pas assez pugnace. Car je trouve que la tradition de la démicratie parlementaire c'est de se dire les choses à l'Assemblée nationale" SONORE André SANTINI "les gens ont peur de dégainer là mais je suis inquiet. Aujourd'hui c'était convenu, mais ça ne tiendra pas, il y aura forcément des bavure, peut être des révélations judiciaires"