La police scientifique ; 10 : applications des sciences naturelles en police scientifique

Lecture par Marcel LAPORTE d'une causerie du professeur de Charles SANNIE, professeur agrégé de la faculté de médecine de Paris, professeur au Muséum et directeur du laboratoire de l'identité judiciaire à la préfecture de Paris. Aujourd'hui, les applications des sciences naturelles en police scientifique . (Il s'agit d'une lecture par un interprète car le professeur est décédé au cours de la série). - A 12'09 : un malfaiteur laisse toujours des traces sur le lieu du délit et inversement emporte avec lui des traces de ce même lieu (minéraux, animaux et végétaux). Pour le policier scientifique cela implique des connaissances de zoologie, botanique, minéralogie parfois de géologie, il doit être aussi un "micrographe". La difficulté résident dans la banalité des poussières que l'on trouve en grande quantité, il faut donc repérer le détail particulier qui deviendra un indice. - A 15'38 : exemple d'une analyse d'un terrain où avait eu lieu un délit. (Utilisation de l'analyse thermique différentielle de SALADIN LE CHATELIER pour les terres et minerais). Etude de l'herbe au microtechnoscope. - A 18'35 : l'analyse du sable, du tabac et des cendres. (Détail de la composition d'une cigarette). - A 20'10 : l'analyse de squelettes et d'ossements. La méthode de datation ce ses os. - A 21'27 : exemple d'une enquête sur un incendie et de l'analyse de la paille trouvée sur place.