La police scientifique ; 8 : les méthodes de la chimie en police scientifique

Lecture par Marcel LAPORTE d'une causerie du professeur de Charles SANNIE, professeur agrégé de la faculté de médecine de Paris, professeur au Muséum et directeur du laboratoire de l'identité judiciaire à la préfecture de Paris. Aujourd'hui, les méthodes de la chimie en police scientifique. (Il s'agit d'une lecture par un interprète car le professeur est décédé au cours de la série). - Avantage des analyses chimiques et du développement de la microchimie. Chaque progrès de la chimie intéresse le laboratoire de police qui utilise surtout la macrochimie pour ses dosages. Facilité de l'identification des stuféfiants. Exemple plus complexe du chanvre ou de l'opium. Il donne un exemple concret d'expertise. - A 19'53 : le cas de l'identification de la fausse monnaie et le type d'analyses effectuées. Nouvelles techniques : l'analyse minérale microchimique à réactif organique sur des tâches faites sur un buvard (remplace la spectrographie). On obtient une couleur spécifique en fonction du métal analysé. Exemple du mercure. Les résidus divers qu'on peut trouver en fonction des matières. L'analyse des graisses. - A 23'59 : exemple d'une affaire de tickets de bus enduits de paraffine par des faussaires. Exemples de fragments d'os d'enfants retrouvés dans de la cendre. - A 26'33 : exemple de l'utilisation de la chromatographie sur papier à travers l'exemple de rouge à lèvres trouvé sur des mégots.