"Ce joyeux génocide. Qui dirige vraiment. Le grand chambardement. Ciel ! Ce sont les machines..."
Ce titre, il l'interprétait le 28 mars 1968 dans Le Palmarès des chansons. Dans son texte, l'auteur-compositeur et interprète distille avec son humour coutumier son angoisse face à un avenir sombre où une mauvaise manipulation de l'atome et des machines déclencheraient une guerre mondiale annihilant l'humanité. A une époque où les progrès de l'intelligence artificielle et des technologies incitent à la réflexion, ce pamphlet résonne fortement.
"La terre perd la boule
Et fait sauter ses foules
Voici finalement
Le grand le grand
Voici finalement
Le grand chambardement..."