L'Italie, un mois après l'attentat de la gare de Bologne

Arrestations dans les milieux d'extrême droite, à la suite de l'enquête sur l'attentat de BOLOGNE. [panoramique] VPL la gare détruite. [Différents gros plans] le monument portant les noms des victimes. La pendule arrêtée a 10h25. Panneau de photos noir et blanc de la catastrophe. Conférence de presse du procureur PERSICO (de dos) qui mène l'enquête, et interview (en ombre chinoisé) en français. Départ de 2 voitures de police, roulant, à ROME. Contrôle d'identité d'automobiles. [Différents plans] QG de la police romaine. L'avocat d'un inculpé explique (italien ss/ comment .) comment l'enquête a été conduite. [Différents plans] passants discutant dans les rues. Interview du maire de BOLOGNE (traduc. simult.) dans son bureau s/ la faiblesse de la lutte antiterroriste. G. ALMIRANTE (MSI) soutient la thèse d'une provocation à BOLOGNE "complot libyen ou Palestinien..." (En français ). Interviews en français de M. PENNACCHINI, de B. TRENTIN (secr. général confed. Italienne du travail), et en italien du min. democ. chrétien FOSCHI, s/ la déstabilisation de l'état par le terrorisme. [panoramique] [vue générale] ROME, [plan d'ensemble] place d'ESPAGNE, sortie d'usine . (+ VI .)